Un contrat ? Non des contrats, Voici l’explication et la véritable histoire des sous-marins avec l’Australie révélée, le Fautif ? À votre avis « E. Macron ».

 



Un contrat ? Non des contrats, Voici l'explication et la véritable histoire des sous-marins avec l'Australie révélée, le Fautif ? À votre avis "E. Macron".

Pour mémoire, c’est Emmanuel Macron qui, en novembre 2014, alors qu’il est ministre de l’Économie, autorise la vente d’Alstom à General Electric, mais ce n'est pas UN mais DES contrats de perdus à cause d'E. Macron.

Publié le 20.9.2021


La Suisse choisit le F-35 yankee plutôt que le Rafale français !

Après la perte catastrophique du contrat australien de 56 milliards d’euros, nous apprenons que la France vient de perdre également un marché de Rafales avec la Suisse qui a préféré acheter des Lockheed Martin F-35 yankees. Super le projet européen.

En pleine crise diplomatique avec l’Australie, la France annule la visite officielle du président de la Confédération suisse, révèle les médias helvètes dimanche.

En cause, le choix en juin d’acheter des avions américains pour renouveler sa flotte aérienne plutôt que le Rafale.

La France durcit le ton. Après l'Australie et les US au tour de la Suisse qui a acheté des F35 américains plutôt que des Rafale. Emmanuel Macron décommande Guy Parmelin président de la Confédération suisse https://t.co/XX6hZ9Eud2

— Pascal Samama (@PascalSamama) September 19, 2021

Tiens tiens. La nervosité s'étend aussi à la Suisse qui a choisi les F35. Macron n'a pas le temps de recevoir notre Président mais DJ Smile oui et d'autres braqueurs à poil.

France-Suisse - Emmanuel Macron bouleverse l’agenda de Guy Parmelin - 20 minutes https://t.co/NbthMD2OXG

— Dickens Charles (@DickensCharle18) September 19, 2021

Guy Parmelin, le président confédéral de la Suisse.

Guy Parmelin devait se rendre à Paris en novembre pour la visite bilatérale annuelle du président de la Confédération. Emmanuel Macron a annulé le déplacement, résolu à mettre la Suisse en quarantaine après l'achat des F35 américains et le rejet de l'accord.


Explication sur ces crises sans précédent, comme un retour de bâton pour E. Macron.

L’Australie n’achètera finalement pas pour 56 milliards € de sous-marins à la France comme prévu.

Et en lisant l'article du Centre de ressources et d'information sur l'intelligence économique et stratégique, on comprend mieux pourquoi : cela ressemble tout simplement à un retour de bâton logique …. Et qu'est-ce qu'on dit ? Merci Macron ?

👉 Le 21 février 2018, l’Assemblée Nationale a organisé une Commission d’enquête des décisions industrielles, avec une table ronde consacrée à l’Intelligence Économique. À cette occasion, Alain Juillet, ancien membre du Service Action (SA) et Directeur du Renseignement de la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE) a déclaré que “la France avait perdu sa souveraineté nationale au profit des États-Unis d’Amérique”.

Lorsque le Gouvernement apprend par surprise la vente de la branche énergie d’Alstom à l’américain General Electric, soit les trois quarts du groupe, ce jour du 24 avril 2014, restera, dans les mémoires. Même si après deux mois d’intense bataille politique, l’ancien ministre de l’Économie, Arnaud Montebourg, serait arrivé à trouver un « accord pour sauver les intérêts français », l’indépendance énergétique et militaire pourrait peut-être, pour la première fois depuis la seconde guerre mondiale, être remise en question. Cet épisode a été récemment détaillé dans le documentaire « Guerre fantôme : la vente d'Alstom à General Electric ».

Entendu lors de la Commission d'Enquête, Alain Juillet, l’ancien Haut Responsable pour l’Intelligence Économique en France auprès du Premier ministre, a mis en évidence que la vente du bijou industriel français Alstom au conglomérat américain General Electric était « une perte de souveraineté », essentielle à la République Française. En effet, le transfert aux États-Unis de la production des turbines indispensables aux sous-marins français à propulsion nucléaire, clef de voûte de la dissuasion nucléaire et de la stratégie militaire de l'État-Major français, est une faute politique majeure.

D’ailleurs, l’ancien commando parachutiste du Service de Documentation Extérieure et de Contre-Espionnage (SDECE) , Alain Juillet, a fait un parallèle entre les sous-marins nucléaires français et la récente tentative française de vendre des chasseurs Rafale à l’Égypte. Il apparaît désormais impossible à Dassault de vendre des avions de chasse à l’international sans autorisation du gouvernement américain. La cause est la législation ITAR qui permet d’interdire l’exportation de composants techniques américains, présents dans le Rafale. Or, les fameuses turbines d’Alstom utilisées pour construire nos sous-marins, sont passées désormais sous pavillon nord-américain de General Electric. C’est pourquoi il serait désormais impossible à la France, et donc à l’armateur français Naval Group, de vendre un seul sous-marin dans le monde sans avoir le feu vert des institutions américaines.

Il faut noter la clairvoyance et ces paroles prophétiques du 21ème Président de la République française, François Mitterrand : « La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort apparemment. Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde. C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort. »

La France est encore, à ce jour, la troisième puissance militaire nucléaire au monde après les États-Unis et la Russie. Toutefois on peut se demander si l’Hexagone a la volonté, la stratégie et les armes économiques nécessaires pour préserver son rang et rester membre du Conseil de Sécurité des Nations Unies.

Jean-Charles Carquillat

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👉 Pour mémoire, c’est Emmanuel Macron qui, en novembre 2014, alors qu’il est ministre de l’Économie, autorise la vente d’Alstom à General Electric.

ALSTOM, MACRON, HISTOIRE D'UNE TRAHISON

Publié le 22 octobre 2019 par Là-bas si j'y suis

ALSTOM-MACRON : ILS NE L’EMPORTERONT PAS AU PARADIS !

« Je vais te couper le bras – Ah non, c’est trop ! – D’accord, alors je te coupe la main ! – Super, j’ai sauvé mon avant-bras ! ».La messe est dite pour les travailleurs de Belfort : lundi 21 octobre, une majorité de salariés a adopté à main levée le plan de licenciement de la direction de General Electric. Au lieu de virer 792 salariés du site de Belfort, comme initialement prévu, la multinationale américaine n’en vire que 495 ! La belle affaire ! Une technique de négociations somme toute assez classique lorsque les partis sont déséquilibrés : tu sauves ton bras, mais tu n’as plus ta main.Comme à chaque conflit social, l’entreprise a joué la division : Sud et la CFE-CGC ont signé l’accord, s’en félicitent, et certains salariés sont soulagés d’être « sauvés ». Alors que la CGT, elle, ne voulait rien savoir, a quitté l’intersyndicale depuis samedi dernier, et accuse SUD et la CFE de s’être « vendus » à la direction. « C’était ça ou rien », selon les porte-paroles de SUD. Mais pour ceux qui ont tenu le piquet de grève depuis 10 jours, qu’ils soient SUD ou CGT, « ça » a un goût amer. 500 personnes sur le carreau, un fleuron industriel démantelé petit à petit : c’est le résultat en bout de course de l’incroyable scandale Alstom-Macron.

Mais ils ne l’emporteront pas au paradis : nous passons en libre accès une semaine notre enquête sur cette affaire d’État mêlant impérialisme américain, pacte de corruption et financement d’une campagne présidentielle.

L’annonce est tombée mardi 28 mai, deux jours après les élections européennes : General Electric, la multinationale américaine qui a racheté Alstom énergie il y a 4 ans, s’apprête à supprimer 1055 emplois à Belfort [1]. Comment en est-on arrivé là ? L’histoire à peine croyable de la vente de la branche énergie d’Alstom à General Electric est digne d’un film d’espionnage. Un polar dans lequel on retrouve mêlés le FBI, la justice américaine, des histoires de pots-de-vin et de corruption... et qui remonte jusqu’au financement de la campagne d’Emmanuel Macron !

ALSTOM, MACRON, HISTOIRE D'UNE TRAHISON

Le piège américain

En 2014, Alstom est une entreprise florissante. Bien sûr, elle est plus petite que ses concurrents directs et doit envisager des rapprochements, mais elle a 50 milliards d’euros de contrats devant elle, soit 10 ans de commandes. Bref, il n’y a pas le feu pour la vendre.

(logo du Départment of Justice)

Sauf que pour obtenir ces contrats Alstom a versé des pots de vins partout sur la planète pendant 10 ans [2].

Au moment de la vente à General Electric, Alstom est donc poursuivie depuis des années pour corruption par le Department of Justice [3], une juridiction très spéciale des États-Unis qui dépend de la Maison Blanche. Un instrument de « guerre économique ». Dans le viseur du « DOJ » se trouve un personnage central de cette affaire, Patrick Kron. En tant que PDG d’Alstom depuis 2003, Patrick Kron est tenu pour responsable par les américains de cette vaste entreprise de corruption et fait face à de très lourdes sanctions : une possible peine de prison et une énorme amende qui mettrait Alstom à plat. Pour lui faire peur et tenter de le faire chanter, la justice américaine va carrément emprisonner l’un de ses proches collaborateurs, Frédéric Pierucci, qui témoigne dans notre reportage. En somme, l’enquête de la justice américaine va être utilisée pour contraindre Patrick Kron à vendre Alstom à son concurrent américain, General Electric [4]. Un pur et simple racket.

Un pacte de corruption ?

Mais l’histoire ne s’arrête pas là : une commission d’enquête parlementaire présidée par Olivier Marleix, député Les Républicains de l’Eure, a soulevé l’année dernière de très lourds soupçons : outre le chantage exercé par la justice américaine, le président de la commission d’enquête soupçonne que cette vente d’Alstom énergie a joué un rôle dans le financement de la campagne présidentielle d’Emmanuel Macron en 2017 [5]. En effet, c’est Emmanuel Macron qui, en novembre 2014, alors qu’il est ministre de l’Économie, autorise la vente d’Alstom. Pour une telle transaction à plusieurs milliards de dollars, des bataillons de banquiers, d’avocats d’affaires et de communicants sont engagés par les deux entreprises. Et il est très curieux, selon Olivier Marleix, « de retrouver dans la liste des donateurs d’En Marche des personnes qui étaient intéressés, directement ou indirectement, à la vente d’Alstom énergie », justement en tant que banquiers, avocats d’affaires ou actionnaires. Cela pourrait s’interpréter selon lui comme « un pacte de corruption » [6].

Olivier Marleix a signalé le 17 janvier dernier au procureur ses graves soupçons [7], conclusion de 6 mois d’enquête parlementaire et de dizaines d’auditions. Des soupçons que la justice a pris au sérieux, puisqu’une enquête a été ouverte par l’Office Centrale de Lutte contre la Corruption de Nanterre [8]. Olivier Marleix a été entendu le 29 mai dernier par la justice dans cette affaire en cours d’instruction [9].

Qui sont-ils, ces bénéficiaires de la vente d’Alstom que l’on retrouve ensuite dans le financement de la campagne d’Emmanuel Macron ? Il suffit de se pencher quelques minutes sur la liste des donateurs pour constater des potentiels conflits d’intérêts majeurs. Nous vous révélons dans ce reportage les noms de quelques-uns de ces personnages, banquiers d’affaire et haut-fonctionnaires, qui auraient pu selon la commission d’enquête nouer un « pacte de corruption » avec Emmanuel Macron autour de la vente d’Alstom.

Pour les salariés à Belfort, une lutte à la vie à la mort

Les salariés de Général Electric à Belfort n’ont pas prévu de se laisser voler leur patrimoine et leurs emplois sans broncher. Le 22 juin, une grande manifestation unitaire était organisée à Belfort et a rassemblé près de 10 000 personnes, tous les syndicats, et des élus de la droite jusqu’au NPA. Par deux fois déjà, ouvriers et cadres ont empêché le démarrage du plan social en bloquant l’accès aux réunions. Mais General Electric a décidé de passer en force son plan de licenciements, malgré le boycott total des négociations par les salariés. Le compte-à-rebours de trois mois est lancé et le couperet devrait tomber fin septembre.

Tant sur le plan judiciaire que social, l’affaire Alstom-GE est loin d’être terminée. Mais la justice est lente, et elle n’a souvent pas autant de courage pour poursuivre les cols blancs que de zèle pour punir les gilets jaunes. En attendant, dans « la ville aux Trois Sièges » [10] au glorieux passé résistant, c’est une lutte à la vie à la mort qui s’engage.

Journaliste : Jérémie Younes
réalisation : Kevin Accart
son : Alexandre Lambert et Sylvain Richard

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Sous-marins : Paris rappelle ses ambassadeurs aux États-Unis et en Australie

La France a rappelé vendredi ses ambassadeurs aux Etats-Unis et en Australie, une décision sans précédent vis-à-vis de deux alliés historiques, après le torpillage d'un mégacontrat de sous-marins français à Canberra.

Publié le 17.9.2021 par Valérie LEROUX et Fabien ZAMORA, avec Aurélia END à Washington - Paris (AFP)

"A la demande du Président de la République, j'ai décidé du rappel immédiat à Paris pour consultations de nos deux ambassadeurs aux Etats-Unis et en Australie", a annoncé le chef de la diplomatie française Jean-Yves Le Drian dans un communiqué. "Cette décision exceptionnelle est justifiée par la gravité exceptionnelle des annonces effectuées le 15 septembre par l'Australie et les Etats-Unis", a-t-il ajouté.

"Nous avons été en contact étroit avec nos alliés français", et "nous espérons pouvoir continuer notre discussion sur ce sujet à haut niveau dans les prochains jours, y compris à l'Assemblée générale de l'ONU la semaine prochaine" à New York, a réagi le porte-parole de la diplomatie américaine, Ned Price, dans un tweet, assurant "comprendre leur position".

Le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken et M. Le Drian seront tous les deux présents la semaine prochaine à New York pour le grand rendez-vous annuel de la diplomatie mondiale.

Un peu plus tôt, un un haut responsable de la Maison Blanche avait déjà dit sous couvert de l'anonymat "regretter" que les Français "aient franchi ce pas".

Les Etats-Unis, l'Australie et le Royaume-Uni ont annoncé mercredi un partenariat stratégique pour contrer la Chine, AUKUS, incluant la fourniture de sous-marins américains à propulsion nucléaire à Canberra, qui a sorti de fait les Français du jeu.

L'abandon du projet de sous-marins français et l'annonce d'un nouveau partenariat "constituent des comportements inacceptables entre alliés et partenaires, dont les conséquences touchent à la conception même que nous nous faisons de nos alliances, de nos partenariats et de l'importance de l'Indopacifique pour l'Europe", a martelé Jean-Yves Le Drian.

- "America First" -

La France avait signé en 2016 un contrat de 90 milliards de dollars australiens (56 milliards d'euros) pour la fourniture de 12 sous-marins à propulsion diesel-électrique à l'Australie, souvent qualifié de "contrat de siècle" en raison de son ampleur et de sa portée stratégique.

Depuis l'annonce du partenariat, Paris ne décolère pas, jugeant avoir été trahi par l'Australie comme par les Etats-Unis qui ont fait de la rivalité contre la Chine leur priorité numéro un et demandent à leurs alliés un plus grand engagement à leur côté en Indo-Pacifique, une zone cruciale pour l'économie mondiale.

La toile de fond de cette crise diplomatique est la montée en puissance de la Chine et sa politique de plus en plus agressive dans la zone, qui inquiète de très nombreux pays. Les tensions commerciales entre Pékin et Canberra n'ont cessé de croître depuis 2018. Ces derniers mois, la Chine a imposé de sévères sanctions économiques à l'encontre de nombreux produits australiens.

Le chef de la diplomatie française a dénoncé jeudi un "coup dans le dos" de l'Australie, et une décision "brutale" du président américain Joe Biden, qu'il a comparée aux méthodes de son prédécesseur Donald Trump.

La France a également annulé une soirée de gala prévue vendredi soir pour commémorer l'anniversaire de la bataille de Chesapeake Bay, décisive dans la guerre d'indépendance des Etats-Unis, conclue par une victoire de la flotte française sur la flotte britannique, le 5 septembre 1781.

Les Européens ont désormais une idée "assez claire" de la façon dont Washington considère ses alliés, souligne-t-on à Paris.

Joe Biden, dont l'élection avait été accueillie avec soulagement en Europe, a certes promis de traiter ses alliés de l'Otan avec plus d'égards que son prédécesseur.

Mais de l'Afghanistan à l'alliance américano-australo-britannique dont la France a fait les frais, il a agi de façon unilatérale, en assumant une continuité absolue avec le slogan "America first" de Donald Trump.

- Une déception bien comprise ? -

L'Australie a dit vendredi comprendre la "déception" française tout en souhaitant continuer à travailler avec Paris.

"Il est évident que ce sont des questions très difficiles à gérer", a déclaré la cheffe de la diplomatie australienne Marise Payne depuis Washington. "Mais nous continuerons à travailler de manière constructive et en étroite collaboration avec nos collègues français", a-t-elle promis.

Faisant feu de tout bois, Paris s'est demandé comment faire confiance désormais à Canberra dans la négociation commerciale entre l'UE et l'Australie.

"On a des négociations commerciales avec l'Australie, je ne vois pas comment on peut faire confiance au partenaire australien", a lancé le secrétaire d'Etat aux Affaires européennes Clément Beaune.

Quant au Royaume-Uni, également partie prenante à l'accord AUKUS, qui a quitté l'UE en expliquant vouloir recouvrer sa souveraineté, il est en train de se placer dans une position d'"associé junior" qui se cache dans "le giron" de Washington, a-t-il déploré. L'ambassadrice à Londres n'a d'ailleurs pas été rappelée.

En Australie, le Premier ministre Scott Morrison a lui répliqué à la colère de Pékin après l'annonce de ce partenariat qui prévoit que Canberra dispose de sous-marins nucléaires, avec plus d'autonomie et plus discrets que les sous-marins conventionnels que proposait la France.

Pékin a un "programme très important de construction de sous-marins nucléaires", a-t-il rappelé. "Ils ont le droit de prendre, en matière de défense, des décisions dans leurs propres intérêts, et, bien sûr, l'Australie et tous les autres pays aussi".

Car la Chine avait vivement réagi, qualifiant l'acquisition de ces sous-marins d'"extrêmement irresponsable" et menaçant notamment la stabilité dans la région indo-pacifique. Elle a aussi pointé le fait qu'elle remet en cause les efforts internationaux de non-prolifération nucléaire.

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Un contrat ? Non des contrats, Voici l’explication et la véritable histoire des sous-marins avec l’Australie révélée, le Fautif ? À votre avis « E. Macron ».

par Qactus

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