Christine Deviers-Joncour dénonce le Nouvel Ordre Mondial, leur « plandémie » et leurs vaccins.
Christine Deviers-Joncour dénonce le Nouvel Ordre Mondial, leur « plandémie » et leurs vaccins.
Christine Deviers-Joncour : "Leurs "plandémies" et leurs vaccins mortifères finiront le sale boulot pour une dépopulation mondiale annoncée : le projet ne date pas d’hier, croyez-moi !"
Publié le 23.9.2021 par deux personnes de journaux différents François des Groux et Pierre-Alain Depauw merci aussi bien sur à Christine Deviers-Joncour pour son courage contre le DS.
Nous reproduisons ce message qui circule sur les réseaux sociaux.
Compte Twitter et page web de Christine Deviers-Joncour
Ces messieurs d'en haut... https://livre.fnac.com/
On se rappelle de Christine Deviers-Joncour, la « putain de la République » et ses révélations fracassantes sur les liens et les magouilles entre les politiques, la finance ou l’industrie.
Des révélations qui éclaboussèrent notamment l’ancien ministre des Affaires étrangères Roland Dumas (bientôt 99 ans).
Un texte circule actuellement à son nom, dénonçant le Nouvel Ordre Mondial et son oligarchie, leur plan machiavélique basé sur une pandémie (« plandémie ») et la vaccination massive.
Bobard ou pas, voici assurément un texte de qualité qui sera forcément qualifié de complotiste et, pourtant, assez crédible et, pour tout dire, jouissif à lire. Merci Madame.
Les dessous nauséabonds de la République – L’indécente arrogance des riches et des puissants
«Beaucoup se souviennent de Christine Deviers-Joncour, qui fut la maîtresse de Roland Dumas, de longues années ministre des Affaires étrangères de François Mitterrand. En son temps, elle sortit un livre de révélations intitulé « La putain de la République ». Son nom a beaucoup circulé dans des histoires de corruption impliquant les plus hauts personnages de l’État. Autant dire qu’elle a vu de ses yeux l’envers du décor, la face obscure du monde politique, et que quand elle en parle, elle sait de quoi elle parle. Devant l’horreur au prétexte soi-disant sanitaire dont la clef de voûte est la vaccination imposée à tous, elle se décide à reprendre la parole. » (Danielle Monnier)
J’entendais leurs délires, loin d’imaginer qu’ils iraient jusqu’au bout de leur folie. La fête a assez duré ! Je les ai vus, à l’époque, se goberger, s’empiffrer sur le dos de la bête. Je les ai vus, les yeux plus gros que le ventre, piller et se goinfrer. Se donner des lettres de noblesse factices que leur position et leur pouvoir leur conféraient.
Je les ai vus bomber le torse et de leur petite hauteur, mépriser le peuple en donnant au château de Versailles des fêtes royales pour célébrer dignement l’arrivée au pouvoir du nouveau « monarque ». Les cortèges de voitures officielles comme autant de carrosses et les garden-parties de ces nouveaux parvenus bientôt emperruqués.
J’ai vu les épouses et leur marmaille jouant à Marie-Antoinette sans vergogne sous les lambris, dont le passe-temps se limitait à organiser des dîners fins entre amis et visiter le Mobilier national comme on va chez Ikea. Gratuit ici. Surtout quand on omettait de restituer pièces d’art et meubles d’époque.
Je les ai vus et payé très cher pour avoir été témoin, n’étant pas du sérail…
J’ai vu les caisses noires des ministères exonérées d’impôts, les frais d’intendance éhontés enfler toute honte bue, chauffeurs et gardes du corps à vie et retraites cumulées replètes, retro-commissions sur des marchés d’état, des avions équipés comme des palaces volants, des jets sur le tarmac prêts à décoller au moindre caprice ou quand tsunamis, tremblements de terre et autres catastrophes permettaient d’appeler les hordes de photographes, après être passé en vitesse chez le coiffeur et le couturier branché, pour se faire immortaliser au pied d’un jet avec un sac de riz sur le dos.
J’ai vu des soutes en provenance d’Afrique garnies de billets de banque et des coffres de voitures transformés en caverne d’Ali Baba pour distribution d’argent à grande échelle, des contrats d’État passés aux mains des filous, des comptes bien cachés dans des pays aux lagons bleus, des guerres fomentées pour piller les richesses de ceux qui n’en verront jamais la couleur et verseront leur sang sans même savoir pourquoi.
Des enfants éventrés, des femmes violées, lapidées, torturées. J’ai vu un avion avec une croix rouge sur son flanc porter secours à des populations africaines affamées en leur tirant dessus, et j’ai même vu certains crocodiles bouffer de malheureux témoins encombrants et d’autres tomber des fenêtres, arrêts cardiaques et cancers fulgurants. Toute cette honte, tous ces crimes pour encore plus de Pouvoir et Richesses.
Un monde aux mains de la Finance Internationale vorace, Bilderberg, Nouvel Ordre Mondial criminel, FMI, GAFAM, etc., pour maintenir, verrouiller le système, protéger une élite et asservir les peuples en les abrutissant devant les écrans et en les dépravant en inversant les vraies valeurs ! Nous leur donnons une once de pouvoir et ils perdent tout sens commun.
Et plus on monte dans la hiérarchie, plus ils s’en donnent à cœur joie, perdent le sens des réalités et franchissent allègrement et sans états d’âme l’inacceptable. Et au plus haut niveau de la pyramide ils n’ont plus rien d’humain. Ce sont des monstres.
C’est à croire que les deux grandes guerres, ne furent pour eux qu’un coup d’essai, Les millions de morts n’étaient qu’un premier test préparant l’extermination de toute l’humanité.! Le pouvoir, aphrodisiaque suprême, les déshumaniserait-il à ce point ? Et le fric, moteur essentiel à toutes ces dérives…
Comment osent-ils se poser en donneurs de leçons, parler de probité, d’intégrité, de franchise, quand se multiplient leurs égarements et que les affaires de corruption et autres méfaits les éclaboussent ?
Comment peuvent-ils contraindre le peuple à se serrer la ceinture en période de crise quand eux-mêmes s’allouent des gratifications et salaires insolents sous les lambris confortables de la République ?
Alors que des milliards d’êtres humains souffrent de la faim, des épidémies, et qu’un enfant meurt toutes les minutes sur notre planète, il suffit que la Bourse s’enrhume pour qu’il soit possible de trouver en quelques heures les milliards de dollars et d’euros, jusqu’ici impossibles à débloquer pour soulager la souffrance de ceux qui meurent de faim !
Quand l’homme cesse d’être déterminé par son propre esprit qui est l’esprit de la vie, il se transforme en robot. Cet insupportable mépris pousse à la violence ceux qui n’ont pas ou plus d’espoir.
Dans notre pays des « Droits de l’Homme »il est devenu ordinaire de bafouer le principe d’égalité. La richesse, le luxe et l’apparence étalés sans vergogne sont devenus signes de réussite tandis que les plus faibles vivent leurs souffrances sans trop faire de bruit.
Pour payer cette dette, ce monstre de papier, illégitime et abracadabrantesque, numérique et ubuesque, il nous faudra tout vendre. Jusqu’à nos dents on or et notre peau pour faire des abat-jour dans le bureau d’un maître du monde avec vue sur le Rockefeller Center.
C’est pour quand la découpe façon abattoir ? Le couteau du boucher, c’est la dette, un bout pour Bibi, un bout pour la Finance, un bout pour la mafia, un bout pour les bling-bling accros aux putes de luxe et pour les pédophiles. Un bout pour les ventrus de l’industrie militaire, les labos pharmaceutiques et les Gafam, Pillage à grande échelle !
Et pourtant il suffirait d’un trait de plume, d’un clic sur le clavier pour l’effacer cette dette, sans que personne ne souffre. Mais cette société serait-elle encore humaine ?
Depuis très et trop longtemps on a laissé les loups entrer dans la bergerie. Ils accroissent le chômage, vendent le pays en pièces détachées et initient des dettes impossibles à rembourser. Ils nous mentent, nous volent, nous musellent et maintenant tentent de nous supprimer à travers une fausse pandémie et des vaccins meurtriers !
Nous sommes devenus un immense peuple de moutons à tondre, tandis qu’un fameux agent d’influence suggère que les peuples doivent se contenter de regarder passer les milliards sans broncher, comme on voit passer les cigognes sans s’interroger sur leurs nids bâtis avec nos plumes.
Nos dirigeants et les médias complices seraient-ils réduits qu’à n’être que d’infâmes valets du capitalisme mondialisé et le laboratoire de l’asservissement du monde par la dictature financière conçue par des milliardaires fous, des illuminés ?
La démocratie n’existe plus depuis longtemps, et tout dépend maintenant du pouvoir de résistance et de révolte des peuples.
La mise en esclavage des populations est passée à la vitesse supérieure avec cette « plandémie Covid » en créant la PEUR ! Et les grands argentiers de la planète et leurs marionnettes nous font clairement comprendre que seuls comptent leurs profits, que le bien-être des citoyens n’a aucune espèce d’importance.
Leurs « plandémies » et leurs vaccins mortifères finiront le sale boulot pour une dépopulation mondiale annoncée : Le projet ne date pas d’hier… croyez-moi !
Nous sommes tous sacrifiés sur l’autel des profits. Depuis ces dernières décennies tout fut mis en œuvre fissa pour nous anéantir. Et la télévision et les médias aux ordres ont participé à cet abrutissement de masse qui nous a conduits à l’impuissance en nous lavant le cerveau.
Je veux pourtant rester optimiste. Nous sommes à un tournant majeur, un changement de civilisation.
Il est urgent que tous les citoyens se réveillent et reprennent en main leurs pays, leur souveraineté et éliminent cette vermine financière afin de réinjecter dans les caisses des états pour le bien collectif, les incroyables fortunes détournées par une poignée de mafiosi sans foi ni loi et dangereux.
Il faut bien prendre conscience que, quels que soient votre bord politique ou votre conception de la vie, si vous ne faites pas partie de leur élite, vous serez broyés. Aussi, il faut s’unir en laissant de côté nos différences que les dirigeants actuels n’ont cessé d’amplifier afin de nous diviser pour mieux régner.
Il y a urgence car nous marchons vers l’abime ! Et si le monde devient chaotique, cela signifie aussi que ce qui a manqué, c’est la spiritualité individuelle. Il n’y a pas de compromis avec les éléments extérieurs du monde en action et la conscience se révèle encore inactive face à ce monde chaotique.
Au contraire, la conscience peut se reconnecter en tout temps et en toute situation avec la spiritualité comme une ascension.
Restons positifs car le chant général des poitrines opprimées commence à se faire entendre. Il est mondial ce chant ! Il est encore cacophonie, il va devenir symphonie. De tous ces pays qu’Ils enchaînent il y a ces voix partout qui se lèvent…
Là, il me revient en mémoire cette phrase de Brecht : « Lorsqu’un homme assiste sans broncher à une injustice, les étoiles déraillent »… Alors, vite, protégeons les étoiles et tournons la page sur ces temps décomposés.
Levons-nous !
Christine Deviers-Joncour
Voici ce qu’elle dit la dame :
Christine Deviers-Joncour vit en ermite
Sa silhouette de rêve, ses épaules dénudées et son regard mutin ont longtemps affolé les hommes de pouvoir. Difficile d’imaginer Christine Deviers-Joncour autrement qu’en femme fatale abonnée aux dîners mondains. Pourtant, à 64 ans, l’ancienne maîtresse de Roland Dumas a troqué les robes bustiers contre un uniforme jean-baskets. Un changement radical qui s’accompagne d’un retour aux sources : la longue brune vit désormais à l’ombre des projecteurs médiatiques au fin fond du Périgord noir. Réfugiée dans la maison de famille où elle a grandi, Christine Deviers-Joncour goûte aux joies de l’anonymat dans un village de Dordogne proche de Sarlat. Avec l’un de ses deux fils, elle s’est construit une existence quasi monacale aux côtés d’Alf Emil Eik, un auteur-compositeur norvégien épousé en 2006. « J’ai choisi de me mettre totalement en retrait. Je ne vois plus personne, à part deux ou trois amis intimes. Je vis au milieu de nulle part, mon voisin le plus proche est à 5 kilomètres. Et j’écris douze heures par jour. » La rudesse de la campagne a définitivement remplacé les paillettes. « J’évolue au rythme des saisons. Je jardine, j’élève des poules dont je mange les œufs frais, je plante des tomates. J’adore voir des sangliers, des cerfs et des biches passer sous mes fenêtres. J’apprécie ma vie. » La fille du pays arrive presque à oublier qu’à Paris, son nom s’entoure toujours d’un parfum sulfureux. « J’ai beaucoup de chance d’avoir des racines. Ici, les gens me laissent tranquille. Ils ne me parlent jamais de l’affaire. »
"Je ne renie rien"
Christine Deviers-Joncour fait évidemment référence à l’affaire Elf, l’un des plus gros scandales politico-financiers de la Ve République. Elle y joue l’un des premiers rôles dès 1989, lorsqu’elle devient « chargée de mission » au sein d’Elf-Aquitaine à la demande d’Alfred Sirven, le bras droit du patron Loïk Le Floch-Prigent. La jeune femme touche un salaire de 7.500 € et profite de la carte American Express de la compagnie pétrolière. Elle mène grand train avec son amant Roland Dumas, alors ministre des Affaires étrangères. « Il fallait absolument que je travaille, j’avais deux enfants à nourrir, se justifie-t-elle. Je ne renie rien, je ferai la même chose si c’était à refaire. Je ne connais pas beaucoup de monde qui refuserait un emploi chez Elf. »
Sa vie bascule en 1997, lorsque la juge Eva Joly découvre qu’elle a perçu une commission occulte de 6,8 millions d’euros versée par Alfred Sirven. L’enquête conclut que Christine Deviers-Joncour a été récompensée pour avoir aidé Thomson-CSF (devenu Thales) à vendre 6 frégates militaires à Taïwan, à la demande d’Elf. La justice l’accuse notamment d’avoir usé de son influence auprès de Roland Dumas pour le convaincre de donner son feu vert à la signature de ce contrat colossal. Le scandale devient rapidement une affaire d’Etat. Inquiète pour sa vie, Christine Deviers-Joncour porte un gilet pare-balles pendant trois ans. Elle bénéficiera finalement d'un non-lieu. Mais son implication lui coûtera cinq mois et demi de détention préventive à Fleury-Mérogis et une condamnation à dix-huit mois de prison, dont douze avec sursis. Un calvaire dont les traces restent indélébiles. « On n’efface jamais la prison, confie-t-elle d’une voix étouffée par l’émotion. C’était tellement dur que j’ai failli me suicider. Pas une journée ne passe sans que je pense à ces femmes enfermées dans des conditions dignes du Moyen Age. Comme beaucoup d’autres détenues, j’ai été incarcérée par amour, parce que je ne voulais pas donner Dumas. J’ai été naïve parce que j’étais amoureuse. »
"Le fisc m’a tout pris"
En 1999, Christine Deviers-Joncour mettra finalement en cause l’homme politique en déclarant ne pas être la seule à avoir bénéficié des largesses d’Elf. Roland Dumas devra démissionner du Conseil constitutionnel en 2000, avant d’être blanchi quelques années plus tard. L’ancien ministre, aujourd’hui âgé de 89 ans, a récemment tenu des propos très durs envers son ex, évoquant sa « stupidité » et sa « paranoïa ». Longtemps conspuée, celle qu’un magistrat a surnommé la « Putain de la République » jure que plus rien ne peut l’atteindre. « Je préfère mettre ces déclarations sur le compte de la vieillesse et garder un bon souvenir de cet homme. C’était si minable qu’on en a plaisanté avec mes proches. De toute façon, j’en ai tellement pris dans la figure que je me suis forgé une carapace. » Christine Deviers-Joncour sait qu’elle n’a pas atteint le bout du tunnel. Bien qu’elle ait remboursé la majeure partie des sommes versées par le groupe pétrolier, le fisc lui réclame encore 11 millions d’euros. « Ils m’ont tout pris. Ils voulaient même saisir ma maison lorsque ma mère est décédée fin 2007. Mais je les ai menacés d’y mettre le feu et de m’immoler dedans, pour l’instant ça les a dissuadés », raconte-t-elle en laissant éclater un rire amer. Son train de vie actuel n’a plus rien à voir avec les années Elf. « C’est difficile financièrement. Je suis inscrite à la CMU (couverture maladie universelle, NDLR), et je ne touche pas de retraite. » Depuis toujours, l’écriture représente sa planche de salut. « J’ai publié 8 livres depuis 1998, dont 5 sur mon affaire. C’est ce qui m’a permis de survivre. En ce moment, je commence le quatrième tome de Lorgwyn, un livre d’heroic fantasy inspiré des légendes norvégiennes que j’ai illustré moi-même. J’essaie de trouver un éditeur, mais apparemment on ne veut plus de Deviers-Joncour. Je suis dangereuse parce j’ai la langue trop bien pendue. » On devine qu’il en faudrait plus pour la décourager. « Je continue à me battre. Je vais peut-être faire traduire le livre en norvégien pour qu’il sorte là-bas. »
Christine Deviers-Joncour dénonce le Nouvel Ordre Mondial, leur « plandémie » et leurs vaccins.par Qactus |
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