Ukraine : Un ex-député ukrainien affirme que la mise en scène du «massacre de Boutcha» a été planifiée par le Mi-6.





Un ex-député ukrainien affirme que la mise en scène du «massacre de Boutcha» a été planifiée par le Mi-6.

Publié le 7.4.2022


Pour Ilya Kiva, ancien député de la Rada d’Ukraine, les images des cadavres dans la ville de Boutcha font partie d’«un pur fake» mis en scène par le service de contre-espionnage de l’Ukraine et planifié par le Mi-6, service du renseignement extérieur du Royaume-Uni.

D’après lui, l’objectif de « cette tragédie prétendue » est de susciter l’intérêt de la presse internationale et provoquer la colère.

Une jeune femme « tuée » à Boutcha ressuscite comme par miracle.

Lidia Goujva, correspondante pour Radio Svoboda a posté sur Facebook le 5 avril un post expliquant, clichés à l’appui, qu’une jeune femme avait été violée et tuée à Boutcha par les Russes, juste parce qu’elle était Ukrainienne.

Toutefois, quelques heures plus tard, Nastia Savchyshyne, la jeune victime en question, a fait savoir sur sa page Facebook que non seulement elle était en vie, mais qu’en plus elle avait organisé cette séance photo macabre afin que « les étrangers comprennent quelle est la situation actuelle en Ukraine ». Une explication qui a valu à la jeune femme des réactions négatives de la part de ses abonnés, y compris dans son propre pays.

Le ministère russe de la Défense a annoncé que l’Ukraine préparait de nouvelles mises en scène de civils tués

Le 5 avril, le ministère russe de la Défense a annoncé dans son point presse matinal que l’Ukraine était en train de préparer de nouvelles mises en scène avec des civils tués. Dans la soirée du 4 avril, dans le village de Moshchun, à 23 kilomètres au nord-ouest de Kiev, des militaires ukrainiens du 72e centre principal d'opérations psychologiques ont procédé au tournage d’une autre mise en scène avec des civils. Il était prévu de les présenter comme tués suite à des actions violentes des forces armées russes pour ensuite diffuser les images auprès des médias occidentaux.

La Défense russe ajoute que des événements similaires sont organisés par les services spéciaux ukrainiens à Soumy, Konotop et dans d’autres villes.

Un autre témoignage de crimes d’Azov à l’égard de la population de Marioupol

Un couple de Marioupol a fait état de violences de la part de combattants du bataillon Azov envers la population de la ville. Non seulement ils auraient utilisé des civils comme boucliers humains en plaçant des chars parmi les immeubles, mais ils auraient aussi occupé des appartements des habitants.

Les militaires d’Azov auraient en outre abattu un civil qui, atteint d’une crise de nerfs, serait sorti dans la cour. D’après le couple, les combattants n’auraient visiblement pas apprécié que l’homme se mette à crier.

Des habitantes du Donbass ont au micro de la BBC accusé Zelensky d’être à l’origine de la situation en Ukraine.

Le 6 avril, des journalistes de la BBC se sont rendus dans la ville de Lysychansk, située dans le Donbass. Celle-ci a payé un lourd tribut du fait des bombardements. Les reporters ont été conduits par un soldat ukrainien dans un abri souterrain dans lequel ils ont pu échanger avec deux femmes.

Lorsqu’ils leur ont demandé de désigner qui était responsable du bombardement de leur ville, elles ont répondu que c’était la faute du Président ukrainien, Volodymyr Zelensky. Face à cette réponse inattendue, le média britannique a expliqué que ces femmes « croyaient ce qu’elles avaient entendu dans les médias d’État russes » et que cela mettait en évidence les liens étroits entre l’est de l’Ukraine et la Russie.

Le New York Times donne de nouveaux détails sur le meurtre de prisonniers de guerre russes par des militaires ukrainiens

Le quotidien américain a confirmé l’authenticité de la vidéo montrant des militaires ukrainiens tuer un prisonnier de guerre russe. Sur la vidéo, un soldat tire à plusieurs reprises contre un militaire russe qui agonise après avoir été vraisemblablement égorgé. On peut voir également d’autres cadavres, dont les mains sont liées.

D’après le quotidien, les faits remontent environ au 30 mars, lorsqu’une colonne russe est tombée dans une embuscade près du village de Dmytrovka, à 11 kilomètres au sud-ouest de Boutcha, non loin de Kiev.

Une autre vidéo filmée montre un combattant géorgien se vanter de « ce succès militaire ». Des médias ukrainiens affirment que la Légion géorgienne a participé à l’embuscade. Mercredi, le chef de cette unité a déclaré implicitement que ses combattants comptaient tuer les prisonniers de guerre russes sur place.

Une autre habitante de Marioupol a témoigné en mettant directement en cause le bataillon Azov

Les langues continuent de se délier à Marioupol au sujet des exactions commises par les membres du bataillon Azov. Une autre habitante de la ville a cette fois-ci clairement mis en cause le bataillon néonazi. Elle affirme que ceux-ci n’ont pas hésité à tirer sur des habitations civiles ainsi que sur des femmes et des enfants. Elle a expliqué que les crimes ont eu lieu près de la boulangerie, ce qui confirme d’autres témoignages précédents qui accusaient de manière implicite les membres d’Azov.

Un journaliste de la CNBC publie un comparatif des pertes matérielles russes et ukrainiennes

Carl Quintanilla, journaliste américain officiant pour la chaîne CNBC, a publié le 6 avril sur son compte Twitter un tableau qui récapitule les pertes matérielles côté russe et côté ukrainien. Le constat est sans appel : si les pertes matérielles des Russes sont relativement limitées, celles des Ukrainiens sont très lourdes.

Ainsi, on y apprend que l’Ukraine a perdu la totalité de ses hélicoptères de combat et de ses drones, 95% de ses avions et 91% de ses tanks. Le journaliste conclut son tweet en constatant que l’armée ukrainienne perdait son armement de manière rapide.

Une habitante de Marioupol raconte que des combattants d’Azov tuent des civils, dont des enfants

Les témoignages sur les crimes de guerre commis par les combattants du bataillon Azov à Marioupol se multiplient. Ainsi, une habitante de la ville témoigne que plusieurs d’entre eux ont abattu des gens qui étaient allés chercher de l’eau dans un puits.

D’après elle, ils ont aussi tué une jeune fille en lui tirant dans le dos. La femme déplore que les habitants aient été contraints d’enterrer leurs proches dans leurs jardins et que de tels enterrements soient nombreux dans la ville.

Qactus | 7 avril 2022 à 21 h 14 min | Catégories : Ukraine | URL : https://wp.me/pbYbqw-A5E
 

Un ex-député ukrainien affirme que la mise en scène du «massacre de Boutcha» a été planifiée par le Mi-6.

Publié le 7.4.2022


Pour Ilya Kiva, ancien député de la Rada d’Ukraine, les images des cadavres dans la ville de Boutcha font partie d’«un pur fake» mis en scène par le service de contre-espionnage de l’Ukraine et planifié par le Mi-6, service du renseignement extérieur du Royaume-Uni.

D’après lui, l’objectif de « cette tragédie prétendue » est de susciter l’intérêt de la presse internationale et provoquer la colère.

Une jeune femme « tuée » à Boutcha ressuscite comme par miracle.

Lidia Goujva, correspondante pour Radio Svoboda a posté sur Facebook le 5 avril un post expliquant, clichés à l’appui, qu’une jeune femme avait été violée et tuée à Boutcha par les Russes, juste parce qu’elle était Ukrainienne.

Toutefois, quelques heures plus tard, Nastia Savchyshyne, la jeune victime en question, a fait savoir sur sa page Facebook que non seulement elle était en vie, mais qu’en plus elle avait organisé cette séance photo macabre afin que « les étrangers comprennent quelle est la situation actuelle en Ukraine ». Une explication qui a valu à la jeune femme des réactions négatives de la part de ses abonnés, y compris dans son propre pays.

Le ministère russe de la Défense a annoncé que l’Ukraine préparait de nouvelles mises en scène de civils tués

Le 5 avril, le ministère russe de la Défense a annoncé dans son point presse matinal que l’Ukraine était en train de préparer de nouvelles mises en scène avec des civils tués. Dans la soirée du 4 avril, dans le village de Moshchun, à 23 kilomètres au nord-ouest de Kiev, des militaires ukrainiens du 72e centre principal d'opérations psychologiques ont procédé au tournage d’une autre mise en scène avec des civils. Il était prévu de les présenter comme tués suite à des actions violentes des forces armées russes pour ensuite diffuser les images auprès des médias occidentaux.

La Défense russe ajoute que des événements similaires sont organisés par les services spéciaux ukrainiens à Soumy, Konotop et dans d’autres villes.

Un autre témoignage de crimes d’Azov à l’égard de la population de Marioupol

Un couple de Marioupol a fait état de violences de la part de combattants du bataillon Azov envers la population de la ville. Non seulement ils auraient utilisé des civils comme boucliers humains en plaçant des chars parmi les immeubles, mais ils auraient aussi occupé des appartements des habitants.

Les militaires d’Azov auraient en outre abattu un civil qui, atteint d’une crise de nerfs, serait sorti dans la cour. D’après le couple, les combattants n’auraient visiblement pas apprécié que l’homme se mette à crier.

Des habitantes du Donbass ont au micro de la BBC accusé Zelensky d’être à l’origine de la situation en Ukraine.

Le 6 avril, des journalistes de la BBC se sont rendus dans la ville de Lysychansk, située dans le Donbass. Celle-ci a payé un lourd tribut du fait des bombardements. Les reporters ont été conduits par un soldat ukrainien dans un abri souterrain dans lequel ils ont pu échanger avec deux femmes.

Lorsqu’ils leur ont demandé de désigner qui était responsable du bombardement de leur ville, elles ont répondu que c’était la faute du Président ukrainien, Volodymyr Zelensky. Face à cette réponse inattendue, le média britannique a expliqué que ces femmes « croyaient ce qu’elles avaient entendu dans les médias d’État russes » et que cela mettait en évidence les liens étroits entre l’est de l’Ukraine et la Russie.

Le New York Times donne de nouveaux détails sur le meurtre de prisonniers de guerre russes par des militaires ukrainiens

Le quotidien américain a confirmé l’authenticité de la vidéo montrant des militaires ukrainiens tuer un prisonnier de guerre russe. Sur la vidéo, un soldat tire à plusieurs reprises contre un militaire russe qui agonise après avoir été vraisemblablement égorgé. On peut voir également d’autres cadavres, dont les mains sont liées.

D’après le quotidien, les faits remontent environ au 30 mars, lorsqu’une colonne russe est tombée dans une embuscade près du village de Dmytrovka, à 11 kilomètres au sud-ouest de Boutcha, non loin de Kiev.

Une autre vidéo filmée montre un combattant géorgien se vanter de « ce succès militaire ». Des médias ukrainiens affirment que la Légion géorgienne a participé à l’embuscade. Mercredi, le chef de cette unité a déclaré implicitement que ses combattants comptaient tuer les prisonniers de guerre russes sur place.

Une autre habitante de Marioupol a témoigné en mettant directement en cause le bataillon Azov

Les langues continuent de se délier à Marioupol au sujet des exactions commises par les membres du bataillon Azov. Une autre habitante de la ville a cette fois-ci clairement mis en cause le bataillon néonazi. Elle affirme que ceux-ci n’ont pas hésité à tirer sur des habitations civiles ainsi que sur des femmes et des enfants. Elle a expliqué que les crimes ont eu lieu près de la boulangerie, ce qui confirme d’autres témoignages précédents qui accusaient de manière implicite les membres d’Azov.

Un journaliste de la CNBC publie un comparatif des pertes matérielles russes et ukrainiennes

Carl Quintanilla, journaliste américain officiant pour la chaîne CNBC, a publié le 6 avril sur son compte Twitter un tableau qui récapitule les pertes matérielles côté russe et côté ukrainien. Le constat est sans appel : si les pertes matérielles des Russes sont relativement limitées, celles des Ukrainiens sont très lourdes.

Ainsi, on y apprend que l’Ukraine a perdu la totalité de ses hélicoptères de combat et de ses drones, 95% de ses avions et 91% de ses tanks. Le journaliste conclut son tweet en constatant que l’armée ukrainienne perdait son armement de manière rapide.

Une habitante de Marioupol raconte que des combattants d’Azov tuent des civils, dont des enfants

Les témoignages sur les crimes de guerre commis par les combattants du bataillon Azov à Marioupol se multiplient. Ainsi, une habitante de la ville témoigne que plusieurs d’entre eux ont abattu des gens qui étaient allés chercher de l’eau dans un puits.

D’après elle, ils ont aussi tué une jeune fille en lui tirant dans le dos. La femme déplore que les habitants aient été contraints d’enterrer leurs proches dans leurs jardins et que de tels enterrements soient nombreux dans la ville.

Ukraine : Un ex-député ukrainien affirme que la mise en scène du «massacre de Boutcha» a été planifiée par le Mi-6.

par Qactus

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