TOUS LES MÉDECINS SAVENT ! Un étudiant en 5e année de médecine, nous explique, « Ce vaccin est un tueur d’humain à long terme ».
DONC, TOUS LES MÉDECINS SAVENT ! Publié le 26.7.2021 Un copié-collé d'un message d'un étudiant en médecine en colère : Bonjour, je suis étudiant en 5e année de médecine. Ce vaccin est un tueur d'humain à “long terme" tout de suite vous y croyez, mais attendez quelques années. Je vais vous passer un extrait d'un cours sur les vaccins ARN (qui sont a l'étude depuis plus de 20 ans donc le vaccin était déjà dans les tubes à essais bien avant la COVID-19. Ce qui veut dire que dès le début on nous a menti ). Les conséquences d'une intégration ratée du gène issu de l'ARN messager dans votre ADN peuvent être dramatiques, et c'est là le principal danger de cette forme de vaccination. En effet, un gène invalidé par une intégration en son sein peut tout à fait gêner la synthèse de protéines essentielles au bon fonctionnement de l'organisme. Pire, il pourrait toucher un gène dont l'altération provoquerait un comportement cellulaire cancéreux. Vous développeriez alors une tumeur. On estime en effet aujourd'hui qu'un cancer sur six serait dû à un virus. Et la principale raison est justement que ces virus viendraient perturber le fonctionnement génétique de nos cellules. Un autre risque, et non des moindres est le suivant : Notre système immunitaire fonctionne aussi de cette façon. Lors de leur synthèse, les anticorps de notre organisme apprennent à reconnaître ce que l'on appelle le soi et le non-soi. Cela veut tout simplement dire qu'ils apprennent à reconnaître nos propres cellules... pour ne pas les attaquer. Pour les reconnaître, les anticorps analysent ce qu'on appelle des marqueurs du soi que toutes nos cellules possèdent. Or l'intégration d'un virus au sein de notre ADN peut aussi perturber ces marqueurs. Les cellules de notre corps qui auraient intégré l'ARN messager risqueraient alors de ne plus être reconnues par nos anticorps comme étant des cellules du soi, et donc pourraient se faire attaquer dans une logique simple de défense immunitaire. On appelle ce principe, une réaction auto-immune. Vous avez sûrement entendu parler de cela. Une maladie dite auto-immune est une pathologie dont les cellules de notre système immunitaire se mettent à attaquer nos propres cellules qu'elles prennent pour des cellules étrangères (racistes !). Dans le cas de la COVID-19 : c'est encore plus simple. En effet, l'ARN messager est supposé coder pour des protéines... de la COVID-19. Donc ça veut dire que vos propres cellules vont se mettre à coder des protéines étrangères. Dans de récentes études, les réactions auto-immunes suite à une vaccination par mARN sont encore trop fréquentes pour permettre une généralisation de son utilisation. Voici ce que dit une étude publiée le 22 février 2019 dans le Journal of Transnational Medicine : « Despite the above described adaptations to the IVT mRNA, the emergence of ADA (anti-drug antibody) responses and transient cytokines is still detectable and therefore hampering the clinical applicability of mRNA-drugs, especially when the mRNA has to be administered multiple times. » Traduction, cela donne : « Malgré les améliorations décrites au préalable de l'ARN messager synthétisé In Vitro, l'apparition de réponses immunitaires par développement d'anticorps contre le traitement et de cytokine transitoire (protéines impliquées dans les réponses immunitaires auto-immunes et parfois les cancers, N.d.T) est toujours détectable et donc constitue un obstacle à l'application clinique de ces traitements à ARN messager, surtout quand l'ARN messager doit-être administré plusieurs fois. » Pour vous le faire simple : L'étude démontre que le corps développe des anticorps contre le vaccin, le rendant potentiellement inutile, et provoque des réactions auto-immunes (dont une des conséquences peut être le développement de tumeurs). Bref, l'étude de 2019 (autant dire hier soir), nous explique que ces vaccins ne sont pas prêts tant qu'ils n'auront pas réglé ces problèmes, s’ils veulent bien les régler. Comment les ARNm thérapeutiques entrent dans le domaine des anticorps monoclonaux ? |
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