GREAT RESET 2030: QUI SONT LES COMPLOTEURS ?

 


Q SCOOP – GREAT RESET 2030: QUI SONT LES COMPLOTEURS ?

par Qactus

Message Qactus : "Bel article de nos amis jeminformetv que nous remercions pour leur travail, et nous vous le diffusons."

GREAT RESET 2030 : QUI SONT LES COMPLOTEURS ?

Les Peuples et les États piétinés, les complotistes ne se cachent même plus

Publié le 24/03/2021 par (Alain NicolaÏ) ,Alain Nicolaï, Le Livre des Sept Sceaux (Le Retour à l’Evidence)


[Photo : De haut en bas et de gauche à droite quelques participants du complot avec le badge de l’Agenda 2030 de l’ONU :

►Enrico Giovannini, Ministre de l’infrastructure, Italie.
►Boris Johnson, Premier ministre du Royaume-Uni.
►Tédros Addhamon Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS.
►Bill Gates, Fondation Bill et Mélinda Gates.
►Emmanuel Macron, Président de la République française.

Merci à Mauricio Blondet, Maurizio Blondet


Une Constitution universelle pour un Etat global, privatisé et financiarisé, sous les couleurs de l’Agenda 2030

Article de Liliane Held Khawam du 25 septembre 2020, Liliane

Un jeu qui permet de prendre connaissance des transformations qui traversent notre monde
Fidèle à sa volonté de sensibiliser la population aux « objectifs de développement durable » (ODD) de l’ONU, l’association La Fonda vient de lancer « Faire ensemble 2030 », son nouveau jeu coopératif.
Il s’agit d’un outil ludique à visées pédagogiques fondé sur la résolution de défis en lien avec les ODD. L’idée consiste principalement à mettre en avant des solutions communes, des partenariats d’acteurs, dans l’esprit de l’ODD17 «  Partenariats pour la réalisation des objectifs »
Le Commissariat général au développement durable est heureux d’avoir été associé à l’élaboration de cet outil.

25 septembre 2015. Il y a tout juste 5 ans, le pape François ouvrait en personne un rassemblement historique de l’ONU à New York, qui devait marquer le 70ème anniversaire des Nations Unies. A cette occasion, l’Assemblée, forte de 160 représentants de pays, avait adopté à l’unanimité le projet de « Transformer notre monde : le Programme de développement durable à l’horizon 2030 ». YouTube

Un Programme majeur pour un Nouveau Monde

Ce programme jette les bases du Nouveau Monde en proposant ce qui ressemble à une ébauche de Constitution universelle. Celle-ci exalte l’esprit d’universalité, et la nécessité d’un consensus – voire d’unanimité – entre les Etats, qui décident de s’unir pour gérer au mieux l’avenir du monde. D’ailleurs, cela est confirmé dès l’introduction du Programme :

« Ce Programme a une portée et une importance sans précédent. Il est accepté par tous les pays et applicable à tous, compte tenu des réalités, capacités et niveaux de développement de chacun et dans le respect des priorités et politiques nationales. Les objectifs et les cibles qui y sont énoncés ont un caractère universel et concernent le monde entier, pays développés comme pays en développement. Ils sont intégrés et indissociables et concilient les trois dimensions du développement durable».

Tout est acté au nom du développement durable et de ses déclinaisons. Pourtant, les contradictions abondent dans ce texte qui prône à la fois la politique ultralibérale de l’OMC et la redistribution des richesses, le multilatéralisme et la souveraineté des Etats, l’humanisme et le sponsoring par les firmes globales, l’accessibilité aux contrées reculées, aux biens élémentaires, sans parler de gratuité. La toute-puissance du marché unique mondial, de ses multinationales, de la finance en grand architecte, n’y est pas remise en question.

Une feuille de route pour TOUS les pays

« Le Programme de développement durable, [Agenda 2030] est un plan d’action pour l’humanité, la planète et la prospérité ». Cette première phrase du Préambule introduit un des programmes les plus déterminants du Nouveau Monde. La gestion de l’humanité et de la planète est associée à la prospérité.

Étrangement, bonheur et liberté sont présentés en tant que capacité à produire et à consommer suffisamment.

Faim, misère et désespoir doivent être combattus par la croissance du PIB des pays. 

Joseph Savès a appelé une vision économétrique du monde. Il rappelle que des régimes archaïques enrichis par de fortes rentrées liées à des particularités naturelles, telles que le pétrole, peuvent abriter des populations qui n’en bénéficient pas du tout. A l’inverse, des pays à faibles PIB comme l’Etat du Kérala en Inde du Sud, assurent à leurs populations une vie relativement équilibrée et saine.

Lecture indispensable pour comprendre les enjeux du Développement durable et sa portée sur le terrain :
Liliane

Qu’est- ce que l’Agenda 2030?

Liste des 17 objectifs ODD composent et structurent le Programme de Développement Durable de l’ONU pour 2030

  1. Mettre fin à la pauvreté, sous toutes ses formes, partout,
  2. Éradiquer la faim, garantir la sécurité alimentaire, améliorer la nutrition, promouvoir l’agriculture durable,
  3. Garantir la bonne santé, promouvoir le bien-être de tous à tous les âges, éradiquer les principales maladies,
  4. Garantir une éducation de qualité, sans exclusion, équitable, avec possibilités d’apprentissage pour tous tout au long de la vie,
  5. Égalité des genres: parvenir à l’égalité des sexes et autonomiser toutes les femmes et les filles,
  6. Eau pure et hygiène: assurer la disponibilité et la gestion durable de l’eau et de l’assainissement pour       tous,
  7. Garantir l’accès à une énergie abordable, fiable, durable, moderne, pour tous,
  8. Travail de qualité et économie: promouvoir une croissance économique soutenue, sans exclusion, viable,                le plein                 emploi productif, un travail décent pour tous,
  9. Innovation et infrastructures de qualité : construire des infrastructures résilientes, promouvoir l’industrialisation, sans exclusion, et durable, et encourager l’innovation,
  10. Réduire les inégalités, au sein des pays et d’un pays à l’autre,
  11. Villes et communautés durables : faire des villes et des établissements humains des endroits sans exclusion, sûrs, résilients et durables,
  12. Consommation responsable: garantir des modèles durables de consommation et de production,
  13. Agir d’urgence contre le changement climatique et ses impacts,
  14. Océans durables: préserver et utiliser de manière durable les océans, mers et ressources marines pour     le développement durable,
  15. Exploitation du sol durable : protéger, restaurer et promouvoir une utilisation durable des écosystèmes terrestres, gérer les forêts de manière durable, lutter contre la désertification, stopper et remédier à la   dégradation des terres, et mettre fin à la perte de la biodiversité,
  16. Paix et justice : promouvoir des sociétés pacifiques, sans exclusion, dans le cadre du développement durable, permettre un accès à la justice pour tous, et mettre en place des institutions efficaces,      responsables, et sans exclusion, à tous les niveaux,
  17. Renforcer les moyens de mise en œuvre et revitaliser le partenariat mondial pour le développement durable

Visuel des 17 buts

Le visuel a muté récemment en couronne (ou coronal), coronavirus oblige

Présentation stylisée par le Prince Charles et le World Economic Forum… (Article ici)

La globalisation de la Suisse actée par la présidente de la Suisse

Dans cette allocution de la présidente de la Suisse en faveur de l’Agenda 2030, nous retrouvons les mêmes arguments mis en avant par ses collègues du Conseil fédéral, soit la famine, la pauvreté, les conflits, les discriminations entre hommes et femmes, etc.

Ainsi, en 2018 déjà, son collègue Alain Berset avait appelé l’assemblée des Nations-Unies à une refonte de l’ordre mondial, qui est une invitation à remettre en question la planète définie par des Etats pour la voir comme un tout, une entité une et indivisible. Pourquoi? Pour mettre fin à la

M Berset invita l’assemblée à entrer dans le Nouveau Monde, que nous définissons comme globalisé, productif, soumis à la finance globale.

L’Agenda 2030 a été tricoté sur la base du Développement durable. Dans un rapport sur la mise en œuvre de l’Agenda 2030 par la Suisse, le Conseil fédéral écrit : 

« En Suisse, le développement durable est un objectif suprême de la Confédération et à ce titre, il est inscrit dans la Constitution fédérale. La réalisation de cet objectif passe par la promotion de la prospérité commune, de la cohésion interne et de la diversité culturelle du pays mais aussi par un engagement en faveur de la conservation durable des ressources naturelles et d’un ordre international juste et pacifique. À tous les niveaux, les autorités publiques doivent viser un juste équilibre, sur la durée, entre la capacité de régénération de l’environnement et son exploitation par l’humain. ».

Forts de ce qui précède, il ne faut pas s’étonner de retrouver une autre conseillère fédérale, Doris Leuthard, en juillet 2018 en train de remettre à l’ONU une sorte de reporting (compte rendu) incroyablement détaillé sur la Suisse. (cf détail tout en bas)!

Les fidèles de l’Agenda 2030 récompensés par… (Vidéo ICI)

L’insistance de la présidente suisse quant au rôle de l’OMS

Le discours de la présidente suisse met en avant le rôle central de l’OMS et sa volonté de la soutenir. La chose est d’autant plus étonnante que le monde entier est actuellement au courant de qui tient le pouvoir décisionnel de l’OMS. A relever au passage que l’actuel directeur n’est pas plus médecin (malgré son titre de docteur) que le financeur et donneur d’ordres.

L’objectif 3 de l’Agenda 2030

Garantir la bonne santé, promouvoir le bien-être de tous à tous les âges, éradiquer les principales maladies (But 3)

Les cibles de l’objectif 3
3.1: D’ici à 2030, faire passer le taux mondial de mortalité maternelle au-dessous de 70 pour 100 000 naissances vivantes
3.2: D’ici à 2030, éliminer les décès évitables de nouveau-nés et d’enfants de moins de 5 ans, tous les pays devant chercher à ramener la mortalité néonatale à 12 pour 1 000 naissances vivantes au plus et la mortalité des enfants de moins de 5 ans à 25 pour 1 000 naissances vivantes au plus
3.3: D’ici à 2030, mettre fin à l’épidémie de sida, à la tuberculose, au paludisme et aux maladies tropicales négligées et combattre l’hépatite, les maladies transmises par l’eau et autres maladies transmissibles
3.4: D’ici à 2030, réduire d’un tiers, par la prévention et le traitement, le taux de mortalité prématurée due à des maladies non transmissibles et promouvoir la santé mentale et le bien-être
3.5: Renforcer la prévention et le traitement de l’abus de substances psychoactives, notamment de stupéfiants et d’alcool
3.6: D’ici à 2020, diminuer de moitié à l’échelle mondiale le nombre de décès et de blessures dus à des accidents de la route
3.7: D’ici à 2030, assurer l’accès de tous à des services de soins de santé sexuelle et procréative, y compris à des fins de planification familiale, d’information et d’éducation, et la prise en compte de la santé procréative dans les stratégies et programmes nationaux
3.8: Faire en sorte que chacun bénéficie d’une assurance-santé, comprenant une protection contre les risques financiers et donnant accès à des services de santé essentiels de qualité et à des médicaments et vaccins essentiels sûrs, efficaces, de qualité et d’un coût abordable
3.9: D’ici à 2030, réduire nettement le nombre de décès et de maladies dus à des substances chimiques dangereuses et à la pollution et à la contamination de l’air, de l’eau et du sol
3.a: Renforcer dans tous les pays, selon qu’il convient, l’application de la Convention-cadre de l’Organisation mondiale de la Santé pour la lutte antitabac

3.b: Appuyer la recherche et la mise au point de vaccins et de médicaments contre les maladies, transmissibles ou non, qui touchent principalement les habitants des pays en développement, donner accès, à un coût abordable, à des médicaments et vaccins essentiels, conformément à la Déclaration de Doha sur l’Accord sur les ADPIC et la santé publique, qui réaffirme le droit qu’ont les pays en développement, pour protéger la santé publique et, en particulier, assurer l’accès universel aux médicaments, de recourir pleinement aux dispositions de l’Accord sur les ADPIC qui ménagent une flexibilité à cet effet

3.c: Accroître considérablement le budget de la santé et le recrutement, le perfectionnement, la formation et le maintien en poste du personnel de santé dans les pays en développement, notamment dans les pays les moins avancés et les petits États insulaires en développement
3.d: Renforcer les moyens dont disposent tous les pays, en particulier les pays en développement, en matière d’alerte rapide, de réduction des risques et de gestion des risques sanitaires nationaux et mondiaux

La Suisse derrière la création d’une fondation dédiée à l’OMS. Cadeau de 3 milliards

L’ex-chef de l’Office fédéral de la santé publique Thomas Zeltner a présenté à Genève la WHO Foundation, qui prévoit d’apporter à l’Organisation mondiale de la santé près de 3 milliards de francs d’ici à 2023. Le Temps.ch

Nul besoin de grands discours pour savoir qui va profiter de l’argent des Suisses menés bien malgré eux à l’abattoir de la faillite généralisée… Au nom du big reset exigé par les promoteurs de l’Agenda 2030!

Les liaisons dangereuses vont jusqu’à nous faire assister au versement par Gates de quelques millions à Swissmedic, l’autorité particulièrement indépendante, responsable de la mise sur le marché des vaccins et des médicaments. On soutient avec des milliards les visions hautement discutables de ces personnes privées, puis on accepte quelques petits millions.

Où commencent et où finissent les abus d’autorité et autre corruption?

Eh bien tout ceci est parfaitement illégal en démocratie, mais tout aussi parfaitement légal et exigé dans le monde de l’Agenda 2030.

20 Minutes

Bref, l’adhésion inconditionnelle à l’Agenda 2030 explique à elle seule le soutien inconditionnel à l’OMS ainsi que les pré-commandes à milliards d’un vaccin anti-Covid avant même d’en avoir vu les premiers effets positifs.

Nous marchons à pas forcés vers un Etat planétaire non seulement unifié, mais globalisé, où les milieux de la haute finance occupent une place de choix dans la cogouvernance de l’humanité, d’ores et déjà en place.

LHK

Remarques complémentaires

Avec la création d’une gouvernance mondiale la démocratie va disparaître, puisque c’est une élite autoproclamée qui va prendre d’autorité les décisions, comme le font actuellement Macron en France, Johnson en Grande-Bretagne, Trudeau au Canada, Draghi en Italie… et Ursula von der Leyen à la Commission européenne.

Avec la création d’une gouvernance mondiale, les individus ne seront plus que des pions.

Avec la création d’une gouvernance mondiale, la soumission des citoyens et des peuples sera permanente.

Avec la création d’une gouvernance mondiale, la dictature sera actée et définitive.

Avec la volonté de créer une gouvernance mondiale des financiers et des technocrates sans aucune conscience montrent à tous leur profond mépris de l’humanité.

La crise sanitaire n’est donc qu’un prétexte pour déclencher la phase finale de leur complot contre les Peuples et les États.

À la lumière de ce qui précède, il est facile de comprendre pour un esprit normalement constitué que se trame dans le dos de la population un gigantesque complot contre les Peuples et les États mené par la finance et ses complices. 

Cela ne peut pas être nié, puisque de ces manigances, les médias dominants aux ordres ne vous en ont jamais parlé.

Les synonymes de complot sont conspiration et intrigue. Il est bien évident que nous sommes en présence de personnes qui se croient au-dessus des lois et qui s’estiment intouchables.

La mafia

 Mafia (XIXe siècle), mot italien désignant une société secrète, issue du sicilien, mafia, « hardiesse, vantardise », d’origine obscure. Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Emmanuèle Baumgartner et Philippe Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 463.

Définition de la mafia : En Italie, la loi Rognoni-La Torre, promulguée en 1982 pour définir l’association mafieuse dans sa spécificité (article 416bis du Code pénal), est une extension de l’article 416 définissant l’association criminelle. Le législateur postule que ce qui caractérise l’association mafieuse par rapport à la simple association criminelle est ses méthodes et, notamment, trois d’entre elles : l’intimidation, l’omerta et la soumission. Dès lors, est désigné comme « mafieux » tout individu qui tire profit du pouvoir d’intimidation émanant du capital de violence inscrit dans son association — quand bien même cette violence n’est pas exercée de façon systématique —, qui protège son organisation par son silence et vit dans un rapport de soumission vis-à-vis de cette institution se superposant à l’État.

La mafia comme délit :

La création, en 1982, du « délit d’association mafieuse » répond à la nécessité de fixer un phénomène social ambigu, objet d’une approche tantôt culturaliste (la mafia comme façon d’être, expression archétypale de l’être sicilien), tantôt criminologique (la mafia comme association de malfaiteurs sans rapports permanents entre eux). Or nous avons vu comment la difficulté de prouver le caractère durable du lien mafieux et de démontrer la conscience des associés quant au projet criminel de leur association rendait caduques les tentatives judiciaires d’imputer aux mafieux un délit associatif, tel que prévu par le Code Pénal. La loi Rognoni-La Torre, promulguée en 1982 pour définir l’association mafieuse dans sa spécificité (article 416bis du Code Pénal), est une extension de l’article 416 définissant l’association criminelle. Le législateur postule que ce qui caractérise l’association mafieuse par rapport à la simple association criminelle est ses méthodes et, notamment, trois d’entre elles : l’intimidation, l’omerta et la soumission. Dès lors, est désigné comme « mafieux » tout individu qui tire profit du pouvoir d’intimidation émanant du capital de violence inscrit dans son association — quand bien même cette violence n’est pas exercée de façon systématique —, qui protège son organisation par son silence et vit dans un rapport de soumission vis-à-vis de cette institution se superposant à l’État. Juger la mafia — Deborah Puccio-DenJuger la mafia, Deborah Puccio-Den  

À ces délits, nous ajoutons la corruption.

Le Nouvel Ordre Mondial est donc une bien une mafia, qui en dehors de tous les principes républicains et de tous les principes démocratiques veut se substituer aux États pour mettre en place un gouvernement mondial aux mains d’une élite autoproclamée.

« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au magazine Time, et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans. Il aurait été pour nous impossible de développer notre projet pour le monde si nous avions été exposés aux lumières de la publicité durant ces années. Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et préparé à l’entrée dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale des siècles passés. »

David Rockefeller. Discours à la Commission Trilatérale, en juin 1991 à Baden Baden, dans Matrix of Power : How the World Has Been Controlled by Powerful Men Without Your Knowledge, paru en 2000.

« Certains croient même que nous faisons partie d’une cabale secrète agissant contre les grands intérêts des États-Unis et ils représentent ma famille et moi comme des “internationalistes” ; ils vont jusqu’à prétendre que nous conspirons avec d’autres capitalistes dans le monde pour construire une structure politique et économique mondiale plus intégrée — un seul monde, si vous voulez. Si c’est ce dont on m’accuse, je plaide coupable et j’en suis fier. »

David Rockefeller, Mémoires, Éditions de Fallois, Paris, 2006, page 475.

art« Nous sommes à la veille d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c’est d’une bonne crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial. »

David Rockefeller, All We Need is the Right Crisis and the People Will Accept the New World Order.– David Rockefeller, 1994, Dîner aux Nations Unies.


Source : JEMINFORMETV.COM

Qactus | 25 mars 2021 à 11 h 11 min | Catégories : Bill GatesLe Deep StateLes SatanistesMacron | URL : https://wp.me/pbYbqw-fLe

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